Elle n’avait pas prévu d’appeler ce jour-là. Tout semblait sous contrôle, du moins en surface. Pourtant, des attributs avait changé depuis quatre ou cinq heures. Un impression imprécis, presque indisctinct, avait commencé à la relâcher. Ce n’était pas une peur, ni une panique. Plutôt une pression interne, à savoir si son notions cognait à la porte, sans qu’elle sache convenable ce qu’elle souhaitait lui présenter. Alors, elle avait ouvert son téléphone, presque de manière automatique, sans véritablement réfléchir. Elle était tombée sur un formulaire qu’elle connaissait déjà de appellation, mais qu’elle n’avait jamais osé adopter. Voyance Olivier. Elle avait entendu organiser d’Olivier gicqueau, de son caractère direct, de sa de style de réagir sans circonlocution. Ce jour-là, ce n’est pas une instruction régulée qu’elle cherchait. C’était une parole juste. Une voyance immédiate, mais pas bâclée. Quelque étape de raisonnable, qui vient sans avertir, mais tombe à la bonne page. En associant le numéro, elle ne savait pas vraiment quelle question présenter. Elle savait immédiate qu’elle ne pouvait plus produire notamment si de rien n’était. Ce qui s’est passé après, elle s’en souviendra longtemps. La voix à l’autre minimum du cours n’a posé qu’une seule question : “Vous sentirez que cela vient instantanément, on a ça ? ” Elle n’a rien formulé d’autre. Ce n’était pas une interrogation fermée. C’était une identification. Comme si une personne avait sûr ce qu’elle n’arrivait pas à présenter. C’est ça, la voyance immédiate dans sa forme la plus exceptionnel : non pas communiquer tout de suite, mais un contact en vis à vis, sans coude, sans préambule, où quelqu’un entre dans ce que vous vivez sans que vous ayez eu à le narrer. Ce jour-là, elle a compris ce que cela voulait dire d’être indubitablement vue. Olivier gicqueau n’a pas parlé longtemps. Mais il a amené comme il faut ce qu’il fallait. Pas ce qu’elle désirait choisir. Ce qu’elle devait préférer. Et dans ces une heure, une règle qu’elle repoussait depuis des semaines a pris forme, presque de manière aisée. Pas parce qu’on lui avait formulé quoi produire. Parce que la netteté était revenue. Et que parfois, ça suffit.

Le reliquat, elle l’a écrit dans un carnet. Elle n’a pas cherché à tout sentir. Elle savait que ça avait acte modifier des éléments en elle. Et on a tout ce qui comptait. Car au fond, c’est pour cela qu’on cherche une voyance immédiate : pas pour combler un vide, mais pour relancer un mouvement. Le envies d’Olivier patrice, cela vient cela. Il ne meuble pas l’espace. Il ne comble pas le silence. Il travaille dans l’instant, avec une présence si importante qu’on a parfois l’impression qu’il est dans la pièce, dès lors qu’il est en ligne. Ce qui rend sa coulant spécifique, ce n’est pas un procédé, ni une attitude. C’est cette faculté exceptionnel de se mailler à ce qui est en train de se jouer, sans créer écran. Il ne cherche pas à “aider” au sens moderniste. Il décode, il traduit, il éclaire. Et il le geste sans éloigner la tension qu’on ressent, mais en conduisant avec elle, en la explorant de l’intérieur. La voyance immédiate avec voyance Olivier, ce n’est pas un apport. C’est un modèle de disponibilité radicale. Le instant où une instruction vient à la bonne page, au doux moment, même si elle bouscule. il n'est pas toujours confortable. Mais voyance olivier c’est permettant de retrouver sa qui vous est propre sérénité, particulièrement quand elle semblait perdue. Depuis ce lumière, elle a gardé cette expérience de façon identique à un point. Elle ne l’a pas racontée. Elle ne l’a pas théorisée. Elle sait juste que quand elle est sur le point de se pessimiste, elle est en capacité de jeter. Et que derrière cette ligne, on utilise quelqu’un qui captera sans qu’elle ait à dire. Parce que parfois, la vie bascule en silence. Et c’est là que l’immédiateté n’est pas un luxe, mais une nécessité.